En bref

Après avoir obtenu le label "Terre de jeux 2024", certaines villes de l’Aisne lancent leur candidature pour intégrer la liste officielle des Centres de préparation aux jeux (CPJ). Il s’agit d’une opportunité supplémentaire offerte par le Comité d’organisation des Jeux olympiques (Cojo) aux collectivités labellisées. Sur les dix communes du département primées, huit ont saisi cette opportunité et ambitionnent être sélectionnées pour accueillir des délégations étrangères en préparation au sein de leurs infrastructures sportives, à savoir : Belleu, Bucy-le-Long, La Ferté-Milon, Laon, Saint-Quentin, Soissons, Tergnier et la communauté d’agglomération de la région de Château-Thierry. Les sites retenus seront dévoilés par le Cojo au cours du premier semestre 2020.

Avec plus de 160 entreprises de l'aéronautique et environ 10 200 collaborateurs, la région s’efforce de proposer des infrastructures de qualité afin d'accompagner le développement de la filière. Elle dispose de trois organismes de formation entièrement consacrés à l’aéronautique. Il s’agit de l’école d’ingénieurs des sciences aérospatiales ELISA Aerospace, de l’Institut aéronautique Amaury de la Grange (IAAG) qui dispense des formations en construction et en maintenance aéronautiques et du centre Phoenix Concordia spécialisé dans la qualification de type en aviation d’affaires et régionale turbopropulsée. Plaçant l’innovation au centre de ses préoccupations, la région compte également un centre de recherche aéronautique spatiale et de défense (Onera) situé au cœur de Lille. Il intervient principalement sur des recherches mécaniques (fluides, solides, dynamique du vol) pouvant affecter la sécurité des aéronefs.

Pour la seconde fois, le réseau amiénois des Décideurs en or, qui réunit les professionnels de la communication et de l’événementiel se sont retrouvés fin janvier pour leur grande soirée annuelle. L’occasion pour les adhérents d’échanger sur les dernières tendances et de présenter leur savoir-faire.

L’Association des maires de la Somme (AMF 80) organisait mi-février une table ronde autour de la question "Le développement des services publics en milieu rural impose-t-il une mobilité ?".