Destinée à soutenir le pouvoir d’achat des salariés, la prime de partage de la valeur (PPV), souvent appelée «prime Macron», lancée en 2022, en remplacement de la prime exceptionnelle de pouvoir d’achat (Pepa) accordée suite au mouvement des Gilets jaunes, sera, à partir du 1er janvier 2024, assujettie à l’impôt et aux cotisations sociales, dans la majeure partie des cas. Seuls les petits salaires travaillant dans des entreprises de moins de 50 salariés devraient continuer à percevoir cette gratification en franchise fiscale, jusqu’en 2026. On fait le point sur cette mesure et son application dans les entreprises mosellanes.